« Maisons correctement orientées ? »

Comme nous l’indiquons sur tous nos documents : cartes de visites, flyers, brochures etc…, les maisons individuelles « solaires » que nous vendons en France (dans l’hémisphère nord !) sont des maisons dans lesquelles il y a des entrées de soleil en plein hiver, ce qui signifie que l’exposition de la face principale de la maison se trouve, techniquement parlant, plus ou moins entre 150 ° au sud-est (2 heures avant le midi solaire) et 225 ° au sud-ouest (3 heures après le midi solaire), donc grosso modo seulement 20 % des maisons invidivduelles (les mathématiciens auront immédiatement rectifé : exactement 20,83 % des maisons individuelles en France ).

Nous vendons des habitats de toute superficie : que ce soit une « tiny house » de 18 m2, une maison de 95 m2 habitable ou même une propriété de 250 m2 habitable, voire pourquoi pas un château immense de 30 pièces et d’une superficie incroyable de 600 m2 habitable, et surtout quels que soient les matériaux employés pour la construire à l’époque : pierres, galets, parpaings creux, parpaings pleins, béton coulé, briques en terre crue, en argile, en terre cuite, bois, ballots de paille, torchis etc….

Car notre seul et unique critère de sélection des biens immobiliers que nous vendons, c’est l’exposition sud, légèrement sud-est, légèrement sud-ouest !….

Ce sont donc des maisons exposées Plein Sud et sans masque hivernal : le soleil, quand il brille !… tape toujours sur les vitres en hiver, réduisant d’autant la facture de chauffage : 3 m2 de vitrage double ou triple émissif permettent de chauffer 3 fois la surface derrière la vitre, soit 9 m2 !…

En l’occurrence  ici, sur la photo de cette maison à droite, on voit au moins 10 mètres linéaires de grandes baies vitrées au sud sur 2,7 m de hauteur, soit 27 m2 en tout et permettant ainsi de chauffer gratuitement à l’instant t, quand le soleil brille, plus de 80 m2 de surface !… si, de plus, le sol ainsi que quelques murs peuvent stocker cette chaleur, vous aurez ainsi un déphasage de quelques heures dans le refroidissement de la maison !…

Et, si le constructeur, bien conscient de la problèmatique, y a installé,en outre, des rupteurs de ponts thermiques partout où il y a de potentielles « fuites de chaleur » lors de la construction, ce déphasage pourrait permettre de ne pas avoir besoin de chauffer jusqu’au lendemain matin = 12 heures de déphasage, le maximum sans aucune technologie utilisée…